La Grecia si prepara al dopo Papandreu
Referendum sulle misure di austerità – Il governo greco sull’orlo del crollo
– Riferisce sugli scontri interni al Pasok, con i “baroni” del governo, ministro Finanze, Venizèlos, Istruzione, Diamantopulu, Sanità, Loverdos che attaccano Papandreu che con il referendum ha cercato di sfuggire alle proprie responsabilità.
– Inevitabile il cambio di governo, con un governo d’unità nazionale, di fronte a
o il tasso di consenso del governo Papandreu sceso al 14%, dal 44% delle ultime elezioni parlamentari; sfiducia del mondo economico greco e dei capi di governo europei,
o rabbia di salariati, studenti, pensionati.
– Papandreu cercherebbe di guadagnare tempo approfittando delle rivalità e ambizioni personali nei due grandi partiti di governo, Pasok e Nuova Democrazia (centro destra, al potere nel 2004-2009, che ora secondo i sondaggi avrebbe il 22% dei voti contro il 33,5 del 2009).
– L’opposizione al referendum e una petizione con la richiesta di approvazione parlamentare delle condizioni poste dalla Troika per la sesta tranche degli aiuti è partita da 5 giovani deputati di ND che temono l’uscita della Grecia dall’area dell’euro;
o la petizione è stata firmata da 10 di ND + 15 del Pasok; il leader dell’opposizione Samaras si è dichiarato per l’accordo europeo, denunciando il referendum come esperimento populista.
o i 5 giovani deputati ND e 5 Pasok sono disposti a formare un governo di unità nazionale ad interim, diretto da un tecnico indipendente, es. Luka Papademos, ex governatore Banca centrale greca e ex vice-presidente BCE nel 2004-2009.
– Della veloce perdita di consenso dei due maggiori partiti greci potrebbero avvantaggiarsi i piccoli partiti:
o la coalizione di sinistra Syriza, il cui capo Alexis Tsipras ha il più alto tasso di consenso popolare; e il partito di destra Raggruppamento popolare ortodosso (fondato nel 2000), con il suo presidente Giorgos Karatzaferis, entrambi contrari alle misure di austerità, come i comunisti già rappresentati in parlamento.
Continua in Grecia l’incertezza politica
RACHEL DONADIO e NIKI KITSANTONIS
– Dopo il voto di fiducia incassato dal governo greco che rende più probabile l’erogazione della 6 tranche di “aiuti” della Troika, tra i leader politici greci sono ripresi gli scontri;
– Papandreu non accenna a dimettersi subito, pregiudiziale dell’opposizione per la creazione di un governo di unità nazionale, il cui principale scopo per Papandreu è l’approvazione della legislazione richiesta dal nuovo accordo sul debito; Papandreu è contro elezioni anticipate, in mancanza di un ampio consenso politico i partner avrebbero dubbi sulle nostre intenzioni e la volontà di rimanere nella UE e nell’euro.
– Il direttore del londinese Center for European Reform, Charles Grant: Merkel e Sarkozy faranno quanto possibile per convincere chiunque governi la Grecia di andarci piano, prendere la cura prescritta e continuare a fingere che la Grecia è in grado di pagare il suo debito, mentre tutti sanno che non è vero perché
o se la Grecia fallisse o si preparasse ad abbandonare l’area dell’euro prima che si riesca a creare un meccanismo di salvataggio sufficientemente grande, e prima che ci sia un governo italiano credibile, questo potrebbe far crollare tutto il sistema dell’euro.
o Quella di Papandreu potrebbe essere stata una mossa strategica per accelerare l’approvazione dell’accordo sul debito: ha proposto un referendum sul nuovo accordo per il debito con la UE – con tutto il can-can che ne è seguito – e l’ha revocato subito dopo aver costretto l’opposizione ad appoggiare l’accordo, che impone una serie di misure di austerità già approvate dal governo e un monitoraggio esterno permanente.
– Data la crescente protesta sociale, il governo socialista non sarebbe probabilmente riuscito a far approvare da solo la legislazione necessaria per le misure di austerità.
Il leader del partito Nuova Democrazia (ND), Samaras, chiede nuove elezioni; è per l’accordo sul debito, compreso i rigidi obiettivi di deficit, anche con strumenti diversi.
Par Renaud Girard, Alexia Kefalas Mis à jour le 04/11/2011 à 22:57 | publié le 04/11/2011 à 19:13 Réactions (33)
Sans attendre le vote de confiance qui devait intervenir dans la nuit, la classe politique a commencé à organiser la relève.
– S’il existe une seule unanimité dans la classe politique grecque, c’est que l’ère Papandréou touche à sa fin. Qu’il reçoive ou non, dans la nuit de vendredi à samedi, le vote de confiance qu’il a demandé au Parlement, le premier ministre grec n’a guère de chances de conserver son poste jusqu’au terme normal de la présente législature, en octobre 2013. Vendredi soir pourtant, avant le vote, le premier ministre grec a appelé à la formation d’un gouvernement de coalition, jugeant que la tenue d’élections serait une décision catastrophique et de nature à compromettre le versement de la sixième tranche d’aide du plan de sauvetage européen.
– Après la tempête politique et économique qu’il a déclenchée en annonçant l’organisation d’un référendum sur ce plan, adopté laborieusement au Sommet européen à l’aube du 27 octobre, Georges Papandréou a perdu le peu de crédibilité qui lui restait auprès de l’élite politique et du peuple grecs.
– Au sein même de son parti, le Pasok (socialiste), son leadership est de plus en plus contesté. Les barons du gouvernement que sont le ministre des Finances, Evangelos Venizélos, la ministre de l’Éducation, Anna Diamantopoulou, le ministre de la Santé, Andreas Loverdos, ont fustigé la fuite de ses responsabilités que représentait cet appel au peuple, aussi inopiné que déplacé.
– Venizélos s’est permis d’annoncer publiquement vendredi, à la tribune du Parlement, la mort du projet référendaire. Mme Diamantopoulou a accusé publiquement son premier ministre de double langage, pour s’être contredit en l’espace d’une heure, entre ses engagements pris devant le Conseil des ministres et son allocution devant le groupe parlementaire socialiste. Loverdos, pour sa part, a conditionné son vote de confiance à la formation dès samedi matin d’un gouvernement d’union nationale.
– Face à un taux d’approbation tombé à 14% dans les sondages, face à la défiance des milieux d’affaires grecs et des chefs d’État ou de gouvernement européens, face à la colère des salariés, des étudiants et des retraités de son pays, on ne voit guère comment Georges Papandréou pourrait demeurer le capitaine d’un navire en passe de sombrer. Ce tacticien roué va tout faire pour jouer la montre, espérant que lui profitent les rivalités et les ambitions personnelles qui se font jour au sein des deux grands partis de gouvernement, le Pasok et la Nouvelle Démocratie (ND, centre droit, au pouvoir de 2004 à 2009).
Dans ce climat délétère, la relève s’organise au sein de la jeune classe politique, inquiète du dégoût grandissant de la population pour l’élite parlementaire dans son ensemble.
– Jeudi, en fin de matinée, cinq jeunes députés ND se retrouvent à la buvette du Parlement, alors que courent les rumeurs d’une chute imminente du gouvernement. Très inquiets du risque d’une exclusion de la Grèce hors de la zone euro, ils estiment qu’il faut impérativement faire approuver par le Parlement l’accord européen du 27 octobre avant la tenue d’éventuelles élections générales. Car ils savent que, de ce vote, dépend le versement de la sixième tranche (huit milliards d’euros) du prêt UE-FMI accordé à la Grèce en mai 2010 (110 milliards d’euros à taux bonifié).
Pétition bipartisane
– «Pour la première fois, le choix est devenu très clair», explique au Figaro l’un de ces jeunes députés ND, Kyriakos Mitsotakis, entrepreneur diplômé de la Harvard Business School, qui entra au Parlement en 2004 avec l’espoir de réformer l’État grec, miné par le népotisme et la corruption. «C’était ou bien l’adoption parlementaire ou une sortie de l’euro, signifiant l’incapacité à continuer à importer de la viande, de l’essence, des médicaments. Une vraie catastrophe…»
– C’est alors que deux députés socialistes se joignent à leur conversation, et leur confient qu’ils sont pleinement d’accord avec eux. Sur une table basse de la buvette, est immédiatement rédigée une pétition bipartisane dans ce sens. Commence la chasse aux signatures. Alors que dix députés ND et quinze Pasok avaient déjà signé, la nouvelle est arrivée que le leader de l’opposition, Antonis Samaras, venait de déclarer qu’il voterait en faveur de l’accord européen quoi qu’il arrive.
– Ces jeunes parlementaires, désireux de se sacrifier pour maintenir la conquête historique de l’appartenance de la Grèce à la zone euro, sont prêts à accepter de participer à un gouvernement éphémère d’union[e] nationale (cinq ministres Pasok et cinq ND), lequel pourrait être dirigé par un technicien indépendant, du type de Lukas Papademos, professeur d’économie à l’université d’Athènes, ancien gouverneur de Banque centrale grecque, et vice-président de la Banque centrale européenne de 2004 à 2009.
«Notre crise équivaut, en gravité, à celle que vous, Français, avez connue à la fin de la IVe République, commente Kyriakos Mitsotakis. La différence, c’est que, chez nous, il n’y a pas de Charles de Gaulle. Il faut donc que les jeunes se retroussent les manches!»
– Mit der Ankündigung einer Volksabstimmung über das Rettungspaket hat Giorgos Papandreou nicht nur an den Börsen, sondern auch innenpolitisch ein Beben ausgelöst. Seine Parlamentsmehrheit schwindet. Die Vertrauensfrage wird noch mehr zur Zitterpartie.
– Nach seinem überraschenden Vorstoß für einen Volksentscheid über den Sparkurs verliert der griechische Ministerpräsident Giorgos Papandreou an Rückhalt unter seinen Anhängern. Die Regierungsmehrheit im Parlament schrumpfte von drei auf zwei Sitze, nachdem eine Abgeordnete der Sozialisten Papandreou am Dienstag die Gefolgschaft kündigte. Sie erklärte sich in einem Schreiben an den Parlamentspräsidenten zu einer unabhängigen Volksvertreterin.
– Papandreou hatte am Montag eine Volksabstimmung über das vergangene Woche beim Euro-Gipfel beschlossene Rettungspaket für Hellas angekündigt. Zugleich gab er bekannt, am Freitag im Parlament die Vertrauensfrage stellen zu wollen.
– Bisher hat der Ministerpräsident aber bei jeder Abstimmung über die Einschnitte eine Mehrheit zusammenbekommen. Doch für die geplante Vertrauensabstimmung kann er sich nur einen Abweichler leisten.
– Finanzminister Evangelos Venizelos sagte zu Papandreous Vorstoß: "Ich kann diese Umfragen nicht mehr sehen, wonach die Mehrheit gegen das Rettungsprogramm ist, aber eine Mehrheit auch für den Verbleib in der Eurozone ist." Nach den Aussagen begab er sich mit Magenbeschwerden in eine Klinik. Nach eigenen Angaben erfuhr der Minister von den Plänen seines Chefs erst durch die offizielle Verkündung.
– Die Opposition wies den Vorschlag eines Referendums zurück und erneuerte ihren Wunsch nach einer vorgezogenen Wahl. "Wahlen sind eine nationale Notwendigkeit", sagte der konservative Oppositionsführer Antonis Samaras nach Beratungen mit Präsident Karolos Papoulias. Papandreou setze mit seinen Plänen für einen Volksentscheid die Mitgliedschaft Griechenlands in der Europäischen Union[e] aufs Spiel. Seine Partei werde solche "opportunistischen Experimente" nicht mitmachen, sagte der Chef der Nea Dimokratia (ND).
– Samaras stemmt sich seit Monaten gegen den Sparkurs der Regierung. Statt der rigiden Einschnitte fordert er neue Verhandlungen mit der Troika aus EU, Europäischer Zentralbank und Internationalem Währungsfonds über die Konditionen der Finanzhilfen. Das Ansinnen gilt jedoch als aussichtslos.
Volk entzieht den großen Parteien das Vertrauen
Das von Papandreou angekündigte Referendum könnte Samaras harte Oppositionslinie durchkreuzen. Wird die zur Abstimmung stehende Frage mit dem Verbleib in der Euro-Zone gekoppelt, müsste die ND wohl ein Ja empfehlen.
– An Neuwahlen kann eigentlich keine der beiden großen Parteien interessiert sein, die seit dem Ende der Militärdiktatur abwechselnd die Regierung stellen. Papandreous sozialdemokratische Pasok-Partei würden laut einer Umfrage des Meinungsforschungsinstituts Kapa 14,7 Prozent der Griechen wählen. Bei der letzten Parlamentswahl hatten knapp 44 Prozent der Griechen ihr Kreuz bei der Pasok gemacht.
– Papandreous Mehrheit ist knapp. Nur noch 152 Abgeordnete stellt die Pasok im 300 Sitze umfassenden Parlament, nachdem am Dienstag die Abgeordnete die Fraktion verließ. Die sozialistische Fraktion wurde bereits durch Austritte und Ausschlüsse dezimiert.
– Auch für die konservative Opposition sieht es nicht gut aus. Die Nea Dimokratia kann nur mit 22 Prozent der Stimmen rechnen. 2009 hatten noch 33,5 Prozent für die ND gestimmt. Trotzdem fordert Samaras seit Monaten vorgezogene Neuwahlen. Populär ist das nicht: Nur etwas mehr als 37 Prozent der Griechen sind für einen Urnengang zum jetzigen Zeitpunkt. Und mehr als ein Viertel der Wähler weiß nicht, wen sie wählen würde. Laut der Kapa-Umfrage wünschen sich 55,5 Prozent der Griechen mehr Einigkeit unter ihren Parteien.
– Von dem rapiden Vertrauensverlust in die großen Parteien könnten die kleineren profitieren. Die höchsten Popularitätswerte genießen Alexis Tsipras, Chef des Linksbündnisses Syriza und Giorgos Karatzaferis, Vorsitzender der kleinen griechischen Rechts-Partei Völkische Orthodoxe Gesamtbewegung.
o Beide stehen dem Sparkurs der Regierung aber genauso kritisch gegenüber wie die ebenfalls im Parlament vertretenen Kommunisten. Unterstützung kann Papandreou von keiner Partei erwarten.
© 2011 Financial Times Deutschland,
– ATHENS — Hours after the government won a crucial confidence vote that made it more likely that Greece would receive the foreign aid it desperately needs, the country’s leaders on Saturday reverted to the type of political wrangling that threw Europe and its markets into turmoil last week.
– Prime Minister George Papandreou took the first steps Saturday to try to form a unity government with the opposition, which he said was necessary to steer the country out of danger. But by Saturday evening, the two sides seemed locked in position, with the prime minister making no immediate move to leave power — a key demand of the opposition — and the opposition leader reiterating his call for early elections and branding Mr. Papandreou “dangerous for the country.”
– While such stands may be nothing more than clever negotiating strategies to win concessions, any sign that Greece may be headed for a poisonous stalemate is sure to rattle other European leaders — and creditors — craving stability.
The continued political upheaval comes at a time when Europe can least afford it.
– The European Union[e] wants the Greek Parliament to approve a new debt deal as quickly as possible to guarantee continued foreign support and avoid the risk of default on its debts. To the extent that the financial crisis is partly a matter of perception, any delay would be problematic. But with Italy already at risk, analysts say, further delay could be disastrous, allowing the contagion to spread there.
“It’s not just about Greece, it’s about the whole situation of overhung debt in Europe, of Italy and others which are more capable of bringing down the system,” said Ian Lesser, the executive director of the German Marshall Fund’s Brussels office.
– Fears over Greece have already helped to compromise Italy’s position, pushing its borrowing costs to 6.5 percent, a record high since the country adopted the euro and a burden the country might not be able to bear for long. High borrowing costs helped tip Greece, Portugal and Ireland into deep enough trouble that they needed bailouts.
Those costs could ease on Monday. But analysts say coming up with a workable plan in Greece — or even just papering over its problems — will be necessary to buy time for Italy, which is mired in its own deep political troubles and which would be much more difficult to bail out because its economy is larger.
– Charles Grant, the director of the Center for European Reform, a research institute in London, said that if Greece defaulted or prepared to leave the euro zone before the bloc could build a big enough bailout mechanism “and before there’s a credible Italian government,” it could “bring down the whole euro system.”
– “That is why Merkel and Sarkozy will do anything they can to persuade whoever is running Greece to take things slowly, to follow the medicine, to carry on pretending they can pay the debt when everyone knows they can’t,” Mr. Grant said, referring to Chancellor Angela Merkel of Germany and President Nicolas Sarkozy of France.
– The proposal for talks to form a unity government followed a roller-coaster week of intense brinkmanship. Mr. Papandreou proposed a referendum on Greece’s new debt deal with the European Union[e] — roiling world markets and spooking Europe — before coercing the opposition to back the deal and just as quickly calling off the referendum plan.
– But as the dust settled Saturday, it was still unclear whether Mr. Papandreou’s referendum gamble was a brilliant strategy to hasten passage of the debt deal, which is Europe’s best hope to create a firewall around Greece, or whether it achieved a short-term political gain while dooming the government’s ability to work with opponents to approve the agreement.
– It dictates the approval of a series of austerity measures the government has already agreed to and imposes a permanent foreign monitoring presence.
o Amid growing social unrest, the Socialist government might not have the ability to pass the necessary legislation on its own, hence Mr. Papandreou’s appeal for broader consensus.
– What was clear on Saturday was that Mr. Papandreou was still trying to steer the country to its next phase, even as his political capital appeared to have just about run out. Although he reiterated that he was willing to step down if necessary to achieve a coalition government, he stopped short of doing so.
– Mr. Papandreou said the chief goal of a new unity government would be to approve the legislation required by the new debt deal, hammered out in Brussels on Oct. 26. That would secure the release of the next $11 billion installment of foreign aid that Greece needs to pay expenses and prevent a default.
“The approval of the legislation is a prerequisite for us to remain in the euro zone,” he said. “The situation is that critical.”
The prime minister also reiterated his opposition to early elections that might cause political chaos and jeopardize Greece’s foreign aid. He said failure to achieve broader political consensus “could raise concerns among our foreign partners about our intentions, about our will to remain in the hard core of the European Union[e] and the euro zone.”
– The attempts to form a consensus appeared to be held hostage in part by a bitter rivalry between Mr. Papandreou and Antonis Samaras, the leader of the New Democracy party, who was the prime minister’s college roommate.
– In calling for early elections, Mr. Samaras said in a televised news conference, “We didn’t ask for a position in this new government; all we asked for is the resignation of the prime minister.”
He was expected to meet with the Greek president on Sunday afternoon. If the two sides fail to find the common ground for a joint government, the country is likely to go to early elections.
“The egotism of two people is essentially to blame for the current stalemate,” Giorgos Kassimatis, a professor of constitutional law at Athens University, told Skai television. “Why is Papandreou delaying his resignation?”
– Mr. Samaras said Saturday that he still supported the European debt deal, including the tough fiscal deficit targets set by Greece’s creditors. But he then added a note of confusion, saying that he thought some government policies to meet those targets would need to change. He did not elaborate, but in the past he has spoken against high taxation.
– Mr. Papandreou met on Saturday with Finance Minister Evangelos Venizelos, who is widely seen as a likely candidate to guide a possible coalition government, but there were no immediate reports from the meeting.
Mr. Venizelos is scheduled to attend a meeting of European Union[e] finance ministers in Brussels on Monday.
News reports on Saturday said that Mr. Venizelos — who in recent months is seen to have upstaged Mr. Papandreou as Greece’s main interlocutor with its creditors — was contacting the leaders of other smaller political parties in an effort to form a government that he would lead.